Le séjour en Écosse - les impressions

 

 

Le séjour vu par Patrick      

 

Ah ! l'écosse tout un programme !!
C'est vrai 9 jours de voyage non stop avec un road-book chargé, cela forcement c'est fatiguant, pas facile tous les jours, il faut se lever de bonne heure, monter et démonter la tente ( hein ma petite véro dur ,dur !!!!)charger et décharger la brèle !!!!!!!
Mais comment faire autrement pour découvrir au maximum l'écosse.
On peut toujours dire, qu'il aurait fallu plus de temps ou moins de kilomètres par jour etc,etc....,oui mais pas facile de faire un choix.

Alors merci Stéphane pour l'avoir fait ainsi.
Oui merci, Stéphane de nous avoir proposé un super voyage à la découverte de ce pays magnifique et je ne regrette en aucun cas le choix qui a été fait.
Merci à nos traducteurs officiels j'ai nommé Virginie et Pascal.
Merci au groupe pour avoir passé neuf jours plus ensoleillé que nuageux.
L'écosse, pays au couleurs extraordinaires du Sud au Nord avec des paysages d'une rare beauté.
Préférence pour la partie nord enfin, quand je dis nord le début des Highlands et non pas l'extrême nord (qui sera peut-être un jour le motif d'un autre séjour, un jour peut-être !!!!).
Les régions traversés sont restés naturelles, elles ne sont pas défigurées.
Non vraiment ce que j'ai aimé le plus dans ce pays, c'est les différents paysages rencontrés.
Dans chaque vallée traversée ,tu peux passer d'un endroit où il y a que des alpages et ensuite traverser des forêts, des lacs, des rivières autant de couleurs accompagnant les différents paysages que du bonheur quoi, ah dame
nature que tu es belle !!!!!!!!!!!!!!!!!!

La vallée des whiskys est à faire absolument, car tu vis le whisky partout, même les rivières chantent le whisky, tu rentres dans un monde magique ,je crois en l'âme de se breuvage !!!!!.

L'écosse reste un paradis pour les motards, même si notre périple fut physique comme dit si bien Véronique.
On a croisé énormément de motards (beaucoup d'allemands) c'est quand même un signe non !

L'écosse a un parfum de liberté sauvage, c'est ce qui m'a frappé le plus et je ne suis peut-être pas le seul a penser cela, vu le nombre de motards.
EN UN SEUL MOT VIVE L'ÉCOSSE !!!!!!

Les plus :
- Avoir un bon équipement de base pluie et froid, autrement tu tiens pas longtemps (hein stéph), on est quand même dans le nord de l'Europe.
- Les camping sont bien équipés.

Les moins:
- Vie très chères
Un comble ne pas s'offrir de whisky dans le pays de naissance (imaginez!!!)

 

Le séjour vu par Vero      

 

 

    Que dire de plus après ce que vient de dire Patrick
    Je vais juste rajouter que je te remercie de m'avoir fait visité l'Ecosse comme tu l'as fait et tu t'en ai bien sorti car c'était pas        évident, même si pour moi les 3 premiers jours ont été terribles. Je me suis quand même endormit sur la moto  ce qui n'était      pas très raisonnable, mais la suite fut sympa et je ne regrette rien même pas le camping ( de là à recommencer je sais pas).
    Contrairement à Pascal la vitesse de croisière m'a convenu (on n' est pas des bêtes).
    J'ai adoré les paysages qui  m'ont transporté dans une autre époque mais je n'ai pas vu de chevaliers.
    Voilà pour le reste tu lis les impressions de Patrick, j'ai ressenti les mêmes.
    Comme tu le sais lui et moi on ne fait qu'un.
    Donc IMPRESSION VERO IDEM PATRICK
    Elle est facile celle la mais je ne vais pas répéter tout se que tout le monde dit.
    SUPER VOYAGE ET MERCI ENCORE


 

Le séjour vu par Pascal       

Pascal qui nous raconte sa vision du 18 mai 2004

 


Mardi, tôt le matin.
Il fait plein jour, les oiseaux chantent, tout le monde dort.
Et comme je n'arrive pas à me rendormir, je me lève (non, je ne te bouscule pas, tu ne te réveilles donc pas... Comme d'habitude) pour aller prendre ma douche. Je jette un oeil à la pendule du Trophy : 4h50 !! Putain, c'est conne de nardin'omouk de pendule s'est encore arrêtée !!! Depuis que je l'ai, elle fait sa capricieuse.
Retour de la douche, je jette un oeil aux pendules des deux Honda : une dit 6h26, l'autre, 6h34. 

Bon, bennnnn, je met la mienne au milieu des deux : 6h30. Et vu que personne n'est debout, retour au dodo. J'arrive
quand même à me rendormir. Plus tard, le bruit me réveille, lever définitif, il est 8h et quelques, le lait et l'eau chauffent déjà. Cool.
C'est quelle heure ? Je regarde la pendule du Trophy : 50 mn d'avance !!!! Oh putain, je me suis _réellement_ levé à 4h50 !!!! Grompffff !!!
Bon, c'est pas grave, on replie le barda, et direction Glen Fiddich pour visiter la distillerie. 

Celle d'Aberlour est pourtant à 20 mn à pied, mais payante, alors que Glen Fiddich est gratuite. L'argent économisé
paiera les douches :oD !!!
Stéphane est devant, il se traîne comme d'habitude, passe lentement devant la distillerie dans Dufftown (Et pourtant, ils sont gros les panneaux GLEN FIDDICH DISTILLERY !!!!) et continue en direction de Glen Fiddich, comme ce que lui disait sa carte. Oui ,enfin, là, bon, comment dire, c'est fléché "Parking" et "Visitors Entrance", on peut supposer que cela puisse éventuellement être l'endroit où on veut aller... Dur à convaincre, le Breton le matin... Enfin bref, il se décide quand même à admettre qu'on est _déjà_ arrivé à la bonne distillerie. 

Et on se baque sur le parking, bien en pente. NB : il y a tellement peu de motos en circulation dans ces régions que les parkings ne sont pas du tout adapté à nos fiers destriers mécaniques.

Et on suit benoitement les panneaux "Visitors". Le hall d'accueil est décoré très couleur locale : quelques trophées de chasse, des présentoirs avec des bouteilles du précieux breuvage distillé, des canapés drapés de tartan aux couleurs du Clan Grant's (ainsi que les rideaux des fenêtres), dont William a fondé la distillerie William Grant's and Son en 1887.
Une gentille dame nous accueille en nous précisant que la prochaine tournée de visite est dans 25 mn, que nous commencerons par une petite vidéo avant de rentrer dans le vif du sujet : les ateliers !!!
D'autres personnes arrivent : Anglais, Gallois, deux Françaises.
Puis une jolie petite blonde, avec un magnifique sourire et de grands yeux bleus, habillé avec une jupe taillée dans le même tartan que les canapés et les rideaux, prend en charge les 11 français que nous sommes et nous précise qu'elle nous fera la visite en Anglais, son Français étant trop pauvre pour pouvoir nous le traduire elle même. C'est pas grave, c'est moi qui m'y collerait.
- 1ère étape : la vidéo. Historique de la distillerie, présentation des produit majeurs qui y sont élaborés, etc, etc.
- 2ème étape : on sort dans la cour, pour nous présenter l'orge et le malt. Puis la farine qu'on en fait. Le processus est relativement simple.
La distillerie est propriétaire de 1200 ha de terrain autour de la source dont l'eau sert à toute l'élaboration du whisky, afin de garantir la qualité de l'eau. La source est localisée dans une colline à proximité de la distillerie, qu'on voit là-bas (La colline, pas la distillerie). Tous les jours, la distillerie consomme 18 tonnes d'orge qui trempe 2 jours dans l'eau de la source. L'excès d'eau est retiré et le mélange ainsi obtenu marine dans son jus pendant 7 jours puis est séché pendant 2 jours au feu de tourbe, et on obtient du malt !!
Le malt est broyé grossièrement pour donner du brai.
Anecdote : le symbole utilisé sur les panneaux indicateurs des distilleries qui ressemble à une pagode représente tout simplement le toit du séchoir à orge !!).
- 3ème étape : la préparation de la bière.
Ce brai est ensuite placé dans une grande cuve en cuivre munie d'un grand malaxeur : la mash tun. On y ajoute de l'eau tiède de la source (quantité évidemment tenue secrète...), on malaxe lentement, on retire l'eau qui s'est ainsi chargé en sucres, et on refait une tounée d'eau. Ceci trois fois. La troisième eau sera réutilisée pour le premier mouillage de la tournée de malt suivante. Cette partie dure 7 à 8 heures. Ce liquide chargé de sucre part dans une cuve munie d'un
malaxeur qui sert à homogénéiser le mélange puis est stocké dans d'immenses cuves en sapin (50 mètres cubes chacune), ensemencé de levures et fermente pendant 3 jours. C'est cette bière (qui titre quand même 6°) qui passera ensuite dans les alambics.
- 4ème étape. La distillation à proprement parler se fait en deux étapes : un gros alambic qui permet de récupérer un premier liquide à 25° d'alcool, ensuite, deux petits alambics aux formes légèrement différentes (Pas eu d'explication sur les différences profondes entre les deux. Ca doit faire partie des petits secrets de fabrication.) qui permettent de récupérer un liquide à environ 70° d'alcool.
 Naturellement, les alambics sont chauffés à la tourbe. Ce liquide s'appelle le Coeur. Les fractions qui sortent de l'alambic avec trop puis trop peu d'alcool s'appellent la Tête et la Queue. Ces fractions retournent au premier alambic afin d'être redistillées. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme...
Le liquide à 70° est coupé avec de l'eau de la source pour obtenir un liquide à 63,5°, qui sera lui, mis en tonneau pour au moins douze ans.
- 5ème étape : le vieillissement en fûts.
Les tonneaux sont tous en chêne, une partie étant des fûts à bourbon, d'autres des fûts à Porto. Le mix des temps de vieillissement dans un type de fût puis dans l'autre donnera les différents produits de la gamme Glen Fiddich, exception notable du Solera Reserve 15 ans, qui est vieilli dans une cuve particulière, où le whisky reste 15 ans, avec un niveau dans la cuve maintenu à la moitié. De sorte que chaque retrait de whisky pour l'embouteillage soit compensé par un ajout de nouveau liquide du même volume.
Les fûts eux-mêmes font une centaine de litres, et sont stockés dans 43 entrepôts dont on ne maîtrise ni la température, ni l'humidité (chose que j'ai trouvé étonnante, mais bon).
Au total, le volume de whisky en vieillissement à la distillerie est de 1200 mètres cubes !!!!
Etonnament, les portes des entrepôts sont cadenassées... Ah bon ??
- 6ème et dernière étape : l'embouteillage. Automatique,
malheureusement. Aucun intérêt, c'est la même chose que chez Orangina ou Ricard. Le whisky mis en bouteille est un assemblage du contenu de plusieurs fûts, dont on panache les goûts pour obtenir un produit fini toujours identique. Quitte à y ajouter un tout petit d'eau de la source pour affiner le goût et le degré d'alcool. D'ailleurs, Glen Fiddich se targue d'être la dernière distillerie d'Ecosse a réalisé elle même l'embouteillage de son single malt afin de mieux maîtriser la qualité du produit final.
"Est-ce que vous avez la soif ??". Décidément, elle est vraiment adorable cette guide !!!
- 7ème étape : la dégustation. A la votre !!!

Après avoir quitté la distillerie, on trace pour Grantown on Spey, où nous déjeunons horriblement mal dans une sandwicherie / boulangerie, avant de reprendre la direction d'Inverness. A l'entrée de la ville, on prend à gauche pour longer le Caledonian Canal qui relie la mer des deux côtés de l'Ecosse (Fort William à l'ouest et Inverness à l'Est) en passant par le Loch Ness et un autre tout petit Loch. On longe une partie du Loch (10 km sur les 30 qu'il mesure) avant de changer de route vers l'île de Skye (accessible uniquement par cette route, sinon, il faut prendre un ferry plus au sud).
C'est à ce moment là que le crachin a commencé. Et merde. Les pantalon de pluie sont sortis, les protection pour les sacoches cavalières aussi (enfin, pour les ceusses qui n'ont pas de vraies valises sur leur brêlon. Moi ça va). Le crachin devient pluie, le vent se lève et souffle en bonnes bourrasques qui font se balader les motos de gauche à droite. Ca dure quoi ? 80 km comme ça, à peu près. C'est tuant. Mais qu'est ce que c'est beau autour de nous. Les montagnes des Highlands sont si belles, même sous la pluie. Petit break dans une station service / épicerie / camping à proximité du château de Highlander (oui, oui, c'est bien là que le début du film a été tourné), où Stéphane panique pour la disponibilité d'essence entre cette station et le château. Qui est à même pas 20 bornes, le camping prévu est proche aussi, et on peut de toute façon revenir à cette station demain en repartant. Décidément, la pluie, ça lui monte au cerveau !!!!
Et on repart, et on arrive au château, qui historiquement n'est pas du tout celui du clan Mac Leod !!! Mais en tout cas, il a vraiment de la gueule, sur son rocher, les pieds dans l'eau de mer, défiant les siècles. C'est beau. Allez, on se casse (c).
Il y a un camping encore plus près que celui de la station service, on y va, et on y reste. Le montage des tentes sous la pluie, est très moyen. Mais bon, elle finit par se calmer un peu, on peut aller dîner au resto tout proche (avec vue sur la mer) au sec. Bon, ok, on repartira sous la pluie. Et le vent. Qui soufflera toute la nuit. C'est pas bien grave, on est au sec. Mais Virginie et Stéphane ont préféré passer la nuit dans ma tente, on est sûr qu'elle ne prend pas l'eau, elle.


 J'ai aimé :
- les paysages (j'y retournais pour ça, faut dire),
- la traversée en Shuttle (Bon, ok, y a pas moyen de se restaurer à bord, mais c'est tellement plus rapide que le ferry),
- la visite de la distillerie,
- rouler à gauche en toute sérénité (les routes sont quand même vachement plus agréables à rouler qu'en France),
- l'accueil,
- la chapelle de l'église Saint Gilles d'Edinburgh, qui est à tomber.

J'ai moins aimé :
- la traversée de l'Angleterre. L'autoroute, c'est casse burne, la limitation est très basse, y a un monde fou qui y roule,
- le rythme de roulage. Je n'avais jamais consommé aussi peu avec le Trophy !! Tu as raison, Franck, on n'a pas eu assez de temps pour prendre des photos, mais c'est normal, on roulait tellement lentement qu'on n'avait pas de temps pour s'arrêter. Joli paradoxe, n'est-il pas ?,
- déçu par Edinburgh. L'architecture est jolie, mais la couleur de la pierre et de la saleté accumulée gâchent tout, c'est vraiment dommage,

- le coût de la vie !!! Les britanniques sont des malades. Comment peut-on vivre dans un pays aussi cher ????

 

Le séjour vu par Vivine       

 

Tant de préparatifs pour trouver les sacs de couchage pas trop chers, un matelas pour moi, des sacoches pour le SV, la carte accrochée sur le mur du salon pendant 1 an et voilà c'est déjà fini ! Stéph aura même oublié de s'acheter une 2ème paire de gants ! Il s'en mordra les doigts dans les Highlands ! 

Que dire à part que c'était un magnifique voyage! J'étais déjà venue en Ecosse il y a longtemps mais c'est complètement différent de la visiter en moto. Je me suis bien entendu dévoué et j'ai laissé Stéph conduire tout le temps ! :-) J'en ai profité pour admirer les paysages, c'est plus facile quand on est derrière ! Et puis conduire à gauche avec la moto chargée, cela ne me branchait pas. A la grande joie de Stéph !!!

Malgré le froid, la pluie (seulement 1 jour, je sais, mais quand même !), le vent, le montage et le démontage des tentes, j'en garde un super souvenir. Bien que 2 semaines après, on ai du mal encore à récupérer !

 

 

les points plus :

- l'accueil exceptionnel des écossais sauf dans certains restos 

- la diversité des paysages : lochs, vallées, Highlands...

- les campings chers mais très propres

- après l'avoir visité en car et en moto, il est clair que le moyen le plus sympa est la moto. On découvre vraiment beaucoup plus de choses. 

- et bien sûr l'organisation!

 

les points négatifs :

- la traversée de l'Angleterre: dure et ennuyeuse surtout avec le sac à dos

- j'aurais bien aimé resté plus longtemps dans certains endroits mais il aurait fallu allonger le séjour d'une semaine au moins !!!

- la pluie qui rend certaines personnes grincheuses (je ne citerai aucun nom !)

- les nuits trop courtes à mon goût et la tente trop petite!

                

 

Le séjour vu par Nath                    

 

L'Écosse ... Dire qu'on en parle depuis 1an1/2 et qu'en 9 jours c'est passé
que m'en reste t il? que des impressions agréables , oubliés le vent et le jour de pluie , ne reste que les souvenirs des beaux jours et les magnifiques paysages même sous la pluie quoiqu'en dise mon frère!!!!!!! l'accueil plus que sympathique des écossais a notre égard , petit bémol pour un ou deux restaurants , et bien sur nos crises de rire
Les paysages du sud sont un peu plus plats que celui du nord, il ya cependant de magnifiques prés de couleurs différentes se côtoyant, les lochs et les montagnes des Higlands font oubliés qu'il y fait un peu plus frais :))))))))
  
les points plus :
- les paysages
- l'accueil chaleureux des écossais
- l'organisation ( c'est bien de n'avoir rien a faire que de suivre :))  )
- notre bonne ambiance de groupe conservée malgré fatigue , pluie , vent et neuf jours a se côtoyer :)))))))
  
les points négatifs :
- un ou deux restaurants qui ont oubliés d'être aimables
- le sac a dos léger qui fini par peser des tonnes a la fin ( vive les tops caisses )
- le mauvais état de certaines routes qui me faisait sentir encore un peu plus le sac a dos
- et la fatigue qu'entraîne un tel séjour , m'a bien fallu une semaine pour récupérer
 
mais dans l'ensemble je retiens surtout le positif

 

 

 

Le séjour vu par Franck                 

 

1 jour
ptain 4h30 c'est tôt...
L’autoroute était très chiant surtout autour de Londres ou il y a eu des bouchons mais après les petites routes pour trouver le camping étaient bien, le paysage anglais est jolie, pas très vallonné mais très très vert (on sait pourquoi...)

2 jours
encore une bonne partie d'autoroute...
enfin on arrive en écosse, le paysage est encore comme celui de l'Angleterre, le camping à été dur à trouver mais il valait vraiment le coup avec un accueil fantastique. Et une petite soirée avec des danses folklorique locales.


3 jours
petit arrêt photo sur la cote ouest, longeage des cotes jusqu'a Glasgow, les paysages sont
pas mal mais la route n'ai pas terrible, elle ne tourne pas beaucoup et surtout il y a une multitude de petit bleds à passer. A l'arrivée dans le parc national on voit de suite la différence, les collines se transforme en montage et la route tourne déjà bien plus, les petites routes qui longent les lochs sont terribles, ça monte, ça descend, ça tourne à droite, ça tourne à gauche, bref que du bonheur et en plus le couple de mon tracteur me permet le ne pas jouer de la boite tous le temps.

4 jours
"Visite" du magnifique château de Donotar castel, il est quasiment tout en ruine, mais on
sent qu'il a une force, une présence phénoménale.  Puis un déjeuner dans un très joli petit port arrosé de soleil.  Après c'est l'entrer dans la vallée du whisky, le vent commence à souffler, la température a chutée d'au moins 4°c, un coin pas très accueillant quoi, mais la route est sympa mais sans plus, il y a aussi le passage d'un col avec des montées hallucinantes et toujours ce vent de plus en plus présent qui nous fais jouer les drapeaux sur la route.

5 jours
Visite de la distillerie, je ne suis pas un fan de whisky mais c'est un truc à faire au moins une
fois, j'ai bien failli me sentir mal tellement les vapeurs me monte à la tête, et tellement l’atmosphère est chaud et humide. Ensuite, on poursuit par une visite du loch ness qui n'a rien de spéciale si ce n'est le nom. Et c'est la que l'on a commencé à ce prendre de la pluie, on poursuit par les Highlands pour aller poser, humide, mais fièrement devant le château d'highlander, mais que ce fut laborieux. La route est belle, encaissée dans les montagnes les paysages magnifique avec cette multitude de cours d'eau qui descendent de la montagne, mais on ne peux vraiment pas les apprécier à leur juste valeur, la cause, à la pluie et au fort vent qui nous oblige à rester concentré sur la route et rien que la route. L'arrivée au camping n'a jamais été aussi attendu, mais il faut encore monter les tentes sous la pluie et dans le vent bref c'était vraiment la galère mais heureusement le système de bâche tendu nous permis de tous dormir au sec et à l'abri du vent.

6 jours
Le réveil est difficile surtout quand on entend la pluie qui tombe encore.....
Mais on profite d'une petite éclaircie pour replier le campement et retourner voir le château d'highlander pour y faire de belles photos avec pas trop de nuage et une belle luminosité. Ensuite c'est retour vers Fort William avec encore de la pluie sur la moitié de la route et aussi une toute petit averse de neige fondu...., événement marquant à Fort William, on c'est tous pris un pv à 10 £ pour stationnement non payé!!!!!, puis c'est le retour vers Edinburgh ou là les paysages sont tout aussi magnifique avec des route qui passe de la plaine à la montagne, pour revenir à la plaine vers Edinburgh.


7 jours
Que c'est bon de ce réveiller sans penser à devoir démonter la tente pour repartir, on a décider de ce faire un petit dej typique dans Edinburgh et on tombe dans un resto super classe avec des hommes d'affaires et des gens de la haute. Ensuite c'est la montée vers le château d' Edinburgh où l'on passe la journée à faire les boutiques et à visiter la vieille ville. Elle est plutôt jolie avec pas mal de vieilles bâtisses encore en très bonne état, et il y a aussi pas mal d’églises qui sont parfois reconvertie en bar !!!!!

8 jours
ça y est le voyage touche à sa fin est il est temps de prendre le chemin du retour on commence par prendre les petites routes de campagne pour profiter encore du paysage, puis on récupère l'autoroute pour essayer de descendre le plus loin possible en Angleterre.


9 jours
La c'est sur c'est la fin, le dernière repliage de tente, le dernier chargement de la moto ça fait quand même quelque chose de ce dire que c'est déjà fini. Le retour se fait complètement par autoroute qui ce passe plutôt bien jusqu'au tunnel car à la sortie du tunnel on se rend vite compte qu'en France il y a beaucoup plus de vent que chez les Britons, ce qui transformerait presque les derniers 300kms en calvaire. Puis c'est les « aux revoirs » après le dernier péage, avec un petit pincement au cœur car on a quand même vécu 9 jours ensemble, et enfin c'est le retour à la maison, comptent d'être rentrer, mais encore la tête dans les magnifiques paysages écossais.

Pour conclure je dirais que ce voyage a été magnifique avec des routes et des paysages
splendides mais il a quand même été assez fatiguant, pas trop niveau physique (la moto a
du aider), mais plutôt au niveau mental, car on a pas trop l'habitude de passer 9 jours
concentré du matin au soir sur sa conduite.  



Les + du voyage
+ paysages et routes magnifiques.

+ Habitants super accueillant.
+ Les campings écossais qui sont toujours nickel au niveau propreté.
+ Organisation sans faille, rien n'a manqué.
+ Plutôt bonne ambiance entre les participants.
 
Les - du voyage
- l'autoroute c'est chiant et ça bouffe les pneus...
- monter et démonter les tentes tous les jours ça fatigue à force.
- pas assez d'arrêts photo, à mon goût, mais bon fallait quand même rouler.

- trop de roulage par jours, mais pour voir tous ce qu'on a vue ça valait le coup.

 

 

Sommaire           

présentation

le séjour

les photos

le road book

le budget