DIENNE Cantal 2006 - Concentre VTRiste

 

 

 

 

 

 

Juin 2005 ……. Déjà un an s’est écoulé depuis la dernière concentration VTRMAG !

Du coup en novembre et après moult sondage, le cantal est retenu pour la concentre 2006 en juin !

Ces derniers jours la météo était loin d’être clémente et laissait présager d’un week-end pluvieux. Tiens tiens, ça me rappelle 2005 ça ! On avait même a l’époque failli emmener le jeu de tarots.

La dernière semaine, je commence a trépigner d’impatience … retourner voir la montage ! Trop bon !!! Le gîte est réservé depuis un moment et tout semble se passer pour le mieux, mis a part deux énergumènes de sudistes qui se décident a venir au deniers moments … tant pis pour eux, ils dormiront au camping, les nuits sont encore fraîches, ça les réveillera tôt, et leur permettra de nous emmener les croissants !

 

Nous partons le samedi matin de Rambouillet ou nous avons rendez vous avec Franck (alias FRB sur le forum) et Matthieu (alias Dr Jeckyll). Il est 7 heures, le plein est fait, mais ça commence plutôt mal ! Mon aimant fixé sur le disque avant de la moto et qui permet a mon compteur de vélo rajouté a été arraché. Je n’aurais donc pas de deuxième compteur kilométrique partiel, et ne saurait donc pas combien de kilomètres je vais parcourir… Heureusement Franck a le même, et nous saurons après coup que la distance a été de 1400 Kms. C’était juste a titre indicatif, mais c’est toujours bon à savoir.

A la quasi unanimité, nous prenons l’autoroute via Orléans, Bourges, et Clermont …

C’est chiant à mourir !

Pour rompre un peu la monotonie, je propose à Matthieu de prendre le SP1… Ce n’est certes pas franchement intéressant sur autoroute, mais au moins il l’essayera sur 150 bornes. Juste histoire de se faire une idée entre le Firestorm et le SP1.

Une fois le péage passé, nous attaquons l’autoroute en direction d’ISSOIRE ou la seule portion d’autoroute française intéressante se déroule sous nos roues… 160-170 kms/h et quelques minutes plus tard, nous voilà arrivé a la sortie 19, celle qui nous mènera a MURAT.

Il est environ 11h heures quand nous attaquons la D909 et les Gorges de l’Allagnon , route qui était conseillé sur le forum pour une petite mise en train . Certes sympa, mais elle remet tout de suite dans le bain et rappelle a quel point il y’a deux point deux mesure sur la façon de traiter les problèmes de sécurités routières suivant les régions.

Ici tout les virages sont bordés d’une jolie glissière de sécurité non doublée, jolie guillotine en cas de glisse … Les pneus sont chauds, donc on roule a un rythme un peu supérieur au limitation, mais sans exagération, et Matthieu lui semble faire une fixation sur ces glissières.

Arrivé à MASSIAC, un petit plein pour les motos assoiffées et ça repart par la N122 en direction de MURAT.

Là le bitume et les courbes sont un pur bonheur ! Et le rythme s’accélère … MURAT ne mettra pas longtemps a arriver en ligne de mire, et après quelques incertitude dans la ville elle-même pour chercher un panneau indiquant DIENNE, Franck fini par en retrouver le chemin par la  D3 et le col d’Entremont.

Le gîte n’est pas d’une grande difficulté a trouver dans se petit village du Cantal ou la population ne doit pas excéder 200 personnes… aller 300 en comptant les chien et les vaches ! 

 

 

Une fois la prise des quartiers effectuée (premiers arrivés, premiers servi), un petit retour vers MURAT pour déjeuner s’impose, car à part une boulangerie et une mairie, DIENNE ne dispose d’aucun commerce.

Qu’il est bon de déjeuner en terrasse et au soleil !  

 

       

 

Une bonne heure c’est écoulée lorsque nous voyons arriver au carrefour un VTR jaune flanqué d’un KTM … tiens tiens, quelques sudistes qui arrivent ! Puis une VTR noire qui est celui de notre alsacien surnommé Nietzsche.

Le retour s’effectue vers le gîte en début d’après midi ou nous retrouverons petit a petit tout ce beau monde, et ou Nico organise une première virée sur un road book. Le rythme est d’entrée de jeu annoncé comme sérieux. De ce fait le groupe se scinde en deux, ce qui est de toute façon plus raisonnable question sécurité, entre ceux qui veulent rouler, et ceux qui souhaite plutôt se balader.

 

Nous partons donc pour notre part avec Franck qui ouvre la marche, te reprenons dans un premier temps la route de MURAT, pour ensuite reprendre la N122 dans la direction opposé a AURILLAC… celle là même que nous avions prise le matin même

Au bout d’une petite dizaine de kilomètres plutôt pépère, nous bifurquons sur une départementale qui ressemblerait plutôt à une vicinale, qui est la D679.

Au terme d’une courte pause, ou n’avons pu constater les curieux cortèges de mariage fait en 4*4 dans cette région plutôt qu’en berline de luxe, nous repartons et attaquons une route assez défoncée, pour rejoindre la D9 qui l’est tout autant .  

 

       

 

Au cours de cette route, nous traverserons quelques plateaux du Cantal fort sympathique, arides, et qui me rappellent ceux que l’on avait pu voir avec Vivine quelques années auparavant lorsque l’on était descendu sur Sète en passant justement par cette région.

Au terme de cette départementale, nous débouchons sur la D3, occasion saisie par Franck pour faire une halte, et du coup pour sortir les appareils photos …

Chacun en profite du cours répit octroyé par l’ouvreur de service pour regarder les VTR des uns et des autres, constater les options posées, etc,etc…  

 

       

 

Nous remontons sur les « brelons » pour récupérer la D3, route au tracé et état bien supérieur semble t il a celle précédemment quittée.

Pendant une dizaine de kilomètres le rythme va s’accélérer et Nous attaquons la Vallée de Cheylade, par la D62 … sur cette route nous serons quelques uns a nous lâcher, et profiter du tracé fort sympathique pour lâcher les quelques cent bourrins du moulin !

Une dernière pause est organisée pour faire quelques photos au Col de la Serre, puis nous devons rentrer afin de nous organiser pour les victuailles du soir !  

 

               

 

Nanou, Franck et No_code partent faire les courses, et tout s’organise tranquillement … le groupe des rapidement finira même par rentrer … On sentira Aurélie un peu fatiguée, faut avouer qu’ils ne l’ont pas ménagé avec le rythme, et qu’en plus elle a roulé depuis Angers toute la journée !

Après quelques apéro et bouteilles des régions respectives des uns et des autres dégustées et ce malgré l’oubli du pastis des marseillais, nous voilà a attaqué le repas avant d’aller se coucher, car pour le lendemain, le gars Nico nous a concocter un circuit un peu plus « hard » !  

 

       

 

 

 

Dimanche matin !

Le temps est tout simplement splendide…. Bleu et sans nuage !

Le chien du quartier est la quand la porte s’ouvre, ainsi que 2 ou 3 chats en goguette.

Petit a petit les uns et les autres se lèvent, et pour la plupart se retrouvent dehors a discuter voir à manger un croissant offert par JR.

Le temps que certain termine de se lever, certain entame un petit tour pédestre de Dienne …. Faut avouer que c’est rapidement réalisé !  

 

       

 

Le roulage pour ce second jour est une fois de plus organisé de main de maître par Nico, et comme la veille pour des raison de sécurité le groupe se divise en deux.

D’ailleurs des personnes aillant rouler la veille dans le groupe rapide décide de changer, volontairement, afin de changer de rythme, voir le paysage.

Les deux groupes partent de Dienne séparément avec comme objectif de se rejoindre pour déjeuner.

Dans un premier temps, nus repartons en sens inverse de la veille, en prenant la direction du Col de la Serre puis en passant par la D62, nous re-attaquons la vallée de Cheylade.

De mon coté, on se tire une petite bourre entre Franck, Nietzsche, et moi-même, fort sympathique dans les sous bois puis en rase campagne tout en rejoignant la D3.

Arrivé sur celle-ci, nous retrouvons un goudron qui est un pur bonheur avec des virages avec beaucoup de visibilité… Fort logiquement le rythme s’accélère quelque peu et ce jusqu’à atteindre Riom es Montagne ou tout le monde fera le plein, et ou nous rejoindrons le groupe dit « rapide ».

Après une courte halte, nous repartons en direction de Mauriac par la D678 … un dédale de lacets, sur une route de qualité médiocre, mais qui serpente beaucoup.

 

Midi … Mauriac … ça sent fatalement le resto ! c’est chose accompli en centre ville, mais pour la première fois que nous organisons des sorties, nous nous voyons dans l’obligation de nous séparer en deux, car la capacité d’accueil aux tables n’est pas suffisante.  

 

 

Le café fini, on rechevauche les bécanes,  et attaquons une portion hyper roulante. Des vitesses largement prohibées sont atteintes sur ce tracé sinueux de la D922…

Le groupe de rapide est parti avant nous et nous nous dirigeons vers Salers

Au bout d’une quinzaine de kilomètres, nous bifurquons sur la D680 … parfums de campagne quand tu nous tiens ! ici tous est splendide et vallonnés.

L’arrivée dans Salers est l’occasion d’une pause .

Nous verrons arriver le groupe « rapide » qui lui préféras rouler que de se délecter d’un bout de brin de soleil et de la visite de ce charmant village !  

 

       

 

 

Une bonne heure c’est écoulé … mais qu’importe !

Nous nous apprêtons a repartir quand le groupe mené par Nico resurgit ! et propose de visiter Salers ! sont gentils, mais on en vient !

Nous repartons donc en direction de Puy Mary, toujours par la D680. Les virages sont plus serré et saute plus vite a la visière, quand au revêtement, il se dégrade très rapidement.

Nous sommes a proximité du col de Neuronne lors que Nous faisons une halte, et que Benlatak nous fait une petit démonstration de stunt a l’aide de LA machine approprié … une Katoche !  

 

       

 

Tout le monde en profite pour quelques photos, et Franck ouvre de nouveau.

Nous sommes entre le col de Neuronne et le cirque de Falgoux quand un bruit sourd me passe !!!

Un speed Noir ! L’enfoiré de Nico que voilà ! Ni une ni deux l’arsouille est lancé ! il passe de même Franck qui ne s’en laisse pas compter et prend également sa roue.

Sur cette route qui serpente dans les bois, les retro passent proche des caisses et les tronc d’arbres semblent bien proche… et ce n’est pas les quelques plaques de neiges résiduelles qui amortiront quoi que ce soit en cas de chute.

Les virages s’enchaînent et après une épingle sévère, nous commençons a grimper, et grimper pour atteindre le Puy Mary, et plus précisément le Pas de Peyrol ( 1588 mètres).

L’occasion, encore, de faire quelques photos et pour Olivier, alias Vtroriste, et sa compagne de nous quitter.  

 

       

 

Le groupe est désormais au grand complet . Nous attaquons la descente de le puy Mary, en direction d'Aurillac par la D17 .

Bien que verte sur la carte Michelin, cette route n'eut que peu d'intérêt .

Arrivé sur Aurillac, certain se souviennent qu'a rouler à fond, un VTR a une faible autonomie... et un dimanche, dans une ville ou rien n'est indiqué, JR, Dedou et Berni mettrons un certain temps a en trouver.

Nous n'attendons pas et entamons le retour par la N122.

J'ouvre la marche avec le SP1, Nico suit avec son Speed, et derrière Olive avec son VTR, puis le groupe un peu plus loin ...

Le compteur généreusement calé, nous arrivons sur un village, VIC sur CERE, traversé a allure modérée, nous remettons gaz en sorti de celui ci.

Enchaînements de virages, Nico me talonne, je le sens juste derrière ( je peux même dire que je crois distingué plus son moteur avec son devil que le mien !), quand soudain, a la sorti d'un double épingle, plus rien ... plus de Nico !

Je ralenti ....encore plus ... peut être s'est il foiré sur une traj, et va revenir ....

les secondes passent et le sentiment déjà vécu avec sylvain dans mes roues et qui disparaît des rétros après un virage resurgi.

Demi tout et dans l'épingle, je vois Olive de garer et qui traverse de l'autre coté de la chaussé ou seul un casque jaune émerge du fossé . Le speed et Nico sont là, calé dans le fond

Nico va bien, si ce n'est un main droite pas en bon état, quand a la moto, c'est loin d'être géant a première vue, sans être non plus catastrophique, très esthétique tout ca.

Aille se dévoue, et avec l'aide d'un automobiliste du coin et emmènent Nico à l'hosto ( ou il restera quand même 3 jours !)

Nous nous mettrons a 6 pour sortir la moto et la poserons a Vic chez l'habitant ou Nico, une fois sur pattes, pourra tranquillement régler les problème administratif.

En fait, encore un fois, Nico a fait frotter le carter moteur en penchant quelque peu trop la moto... délestant la roue arrière, il s'est a priori fait un joli hide-side en voulant récupérer .

Il nous enverra quand même ceci quelques jours après

 

 

Sur ce, et malgré l'atmosphère un peu plus chargée, nous arrivons sur Murat, après une montée de col mémorable pour certain au col de la Cere

Arrivé a Murat le dîner se fait dans un petit resto sans prétention, ou l'organisation du restaurateur ne semble pas au top !

M'enfin ça suffira amplement pour le dîner du soir, ou nous rejoindrons pas trop tard le gite, sachant la route qui nous attends le lendemain.

 

 

 

Lundi matin

C'est le jour du retour ! et oui on le savait donc c'est un peu morose !

Mais pas grave. Avant que Nanou ne repart sur Bordeaux en faisant une halte sur Aurillac pour laisser ses affaires à Nico, nous voilà en train de caler les motos pour la photos de groupe

 

       

 

Après les séparations, les sudistes rentrant chez eux, les affaires pécuniaires réglées, nous entamons le retour vers l'ouest et la région parisienne, mais pas sans se faire une dernière fois plaisir.

Nous passons donc par Clermont Ferrand, puis la D996 ( tiens tiens !!! un an après) avant de rejoindre vers midi l'autoroute et enfin rentrer sur la région parisienne.

 

   Bricoleboy     Dr jekyll

 

 

Aller vivement celle de 2007 !!!!!!!        

 

 

 

Cotation sur 5*

 

Ma cote de l'hébergement **

Ma cote des routes *****

Ma cote de la région ****

 

 

 

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